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Cinémoche.08 septembre2004
     
 
 








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LE RETOUR DES 101 NANARS : CATWOMAN

PREMIER PRIX DE VULGARITE ET TOP 5 DES PIRES SUPER HEROS/SUPER MECHANTS
AU CINE (avec l'aide laide de Sharon -mettez plus de projos pour cacher mes rides-Stone)
aprés Schwarzy ( mister freeze) dans Batman 4, Captain America (le telefilm) etc...
Ok on s'en fout qu'elle soit black Mais où est tu Michelle Pfeiffer...???
VIVA HELLBOY !!!
rapido

CATWOMAN

VU PAR MAD MOVIES

USA - 2004 - 104 minutes
Réalisé par : Pitof
Avec : Halle Berry, Benjamin Bratt, Sharon Stone, Lambert Wilson, Alex Borstein

Patience Philips est une artiste douée, mais maladivement timide et incroyablement mal coiffée. Elle se contente d'un modeste emploi au sein du conglomérat Beau-Line que dirigent le tyrannique George Hedare (Lambert Wilson, beaucoup moins marrant que dans Matrix Reloaded) et sa femme, le légendaire top modèle Laurel (Sharon Stone, toujours une très belle femme quoi qu’on en dise). Beau-Line se prépare à lancer LE cosmétique miracle censé procurer aux femmes un visage et un corps à jamais immaculés. Patience découvre que le produit ne possède aucune de ces vertus, mais est froidement tuée par ses patrons avant d'avoir pu dénoncer l'imposture. Tout n'est pas perdu, cependant, car Patience ressuscite sous l'empire d'une force mystérieuse (une haleine fétide de chat en fait). Elle se réincarne, en une femme féline, sensuelle : Catwoman...

En attendant de retrouver Jennifer Garner dans les défroques rouges de la tueuse Elektra sous la tutelle de la Twentieth Century Fox, la Warner nous livre LE film qui aurait du lancer avec brio une irrésistible vague de super héroïnes sur grand écran. Et la production de Catwoman de réussir d’emblée deux exploits et pas des moindres : Confier un budget de 100 millions de dollars au réalisateur du calamiteux Vidocq et nous proposer un nouvel accoutrement que renierait le responsable costumes d’Intervilles. Ainsi, pour toutes les pauvres âmes s’étant égarées dans une salle ayant projeté son premier film, une question s’impose : comment diable Pitof a négocié son coup pour convaincre le studio Warner qu’il était l’homme de la situation, alors qu’on ne se risquerait pas même à lui confier les commandes d’un spot publicitaire « Whiskas Chaton ». Le mystère reste entier. Toujours est-il que, mis en confiance par des bandes annonces toutes plus nulles les unes que les autres, on était évidemment déjà sur les starting blocks ! Prêt à jouer les vicelards en invitant nos potes à se payer une bonne tranche de rigolade devant ce qui se profilait comme le nanar crétinoide de l’année. Peine perdue, Catwoman est un « vrai mauvais film » et ne donne que très rarement l’occasion de s’éclater.
Si Halle Berry possède à priori toutes les qualités physiques requises pour le rôle, encore fallait-il la faire évoluer dans un semblant d’environnement comicbook. Au sein de l’univers gothiquement décalé d’un Batman Returns, le génie de Tim Burton faisait des merveilles en parvenant à faire de la Catwoman sur pellicule une créature insaisissable, sensuelle et dangereuse. Dialogues « chantés » ("You make it easy, dont youuuu ? Always Waiting for some Batman to save youuuuu. I am Catwoman Hear me Roar !" ), poses suaves et coups de griffes bien placés. Il n’en fallait pas plus pour faire entrer Michelle Pfeiffer dans la légende. Ici on tente de reprendre la même formule mais de façon pathétiquement grossière. Aucun élément n’est introduit au préalable pour faire de Patience Philips une héroïne de notre temps et iconiser « sa part des ténèbres » (oui oui, vous avez le droit de rire là). Car NON, Monsieur Pitof, vous ne nous ferez pas croire que cette petite nénette peinturluré comme une SisterQueen et se dandinant vulgairement sur du Rn’B est Catwoman.

Fort heureusement, le film se rattrape largement dans ses scènes de bravoures et dans la forme. Ah ben non tiens. L’action demeure parfaitement incompréhensible et l’ensemble reste plastiquement vraiment très moche (à 2-3 exceptions près, notamment le tout dernier plan). Et le cinéaste de Vidocq de se rêver tour à tour Tim Burton, Wachowski brothers ou Alex Proyas alors que ses partis pris nous rappellent plus volontiers un autre spécialiste des effets spéciaux passé à la réalisation : Mark AZ Dippé (le « grandiose » Spawn, on vous le rappelle). Se contentant de secouer sa femme-chat dans tous les sens en lui mettant quelques charmants bruitages en bouche ( « Rrrrrrrrrrrrrrrrr » : la chatte ronronne, « Chiiiiiiiiiiiiiiiii » : la chatte attaque, « Tsssssssssssss » : la chatte è mi cantaaaaaaaarrrrre), le réalisateur français aura au moins accompli quelque chose d’assez unique à Hollywood: Transformer une comédienne oscarisée en boite à « meuh » (« miaou » en l’occurrence) ambulante.
f des bois.


STEAMBOY

Ca y est, il est dans les salles en France



un petit mot de Pros-Gilgamesh
septembre2004

Spielberg : l'emphase-Terminale.



EXCLUSIF super héros EXCLUSIF !!!!!



Sin City le film
Les clichés du polar noir se sont entrecroisés avec bonheur sous la plume de Frank Miller dans les albums de Sin City. Du dur au grand cœur, en passant par les belles insaisissables, tellement sensuelles que l’on se damnerait sans concessions pour elles, des flics ripoux aux flics fatigués et désabusés…
Sin City est le recueil incomparable de l’ambiance cuir et cigares qu’ont sublimés Chinatown et Casablanca. Frank Miller, légende vivante du comics transformant n’importe quel super héros en personnage complexe et torturé, s’est approprié cet univers sombre en lui insufflant une identité marquante grâce à un graphisme noir et blanc indéfinissable de justesse.
Miller a accordé sa confiance à Robert Rodriguez (la rumeur le dit chaperonné par Quentin Tarantino pour certaines scènes clés du film) pour réaliser l’adaptation ciné de cet univers singulier. A la vue des premiers clichés, Rodriguez, chef de file d’un cinéma à grand spectacle discutable et discuté (les Spy Kids, Once upon a time in Mexico), a respecté à la lettre la charte graphique identifiant Sin City. Noir et blanc propre, lumière saturée, décors dénudés et casting léché ; Jessica Alba, Maria Bello, Benicio del Toro, Michael Clarke Duncan, Michael Madsen, Clive Owen, Mickey Rourke, Nick Stahl, Bruce Willis… Sin City sera probablement l’événement 2005 du cinéma policier américain. La vidéo suivante est un assemblage que Robert Rodriguez a constitué dans un but promotionnel et pour convaincre Frank Miller de la validité de l'entreprise (le 1er extrait). Certaines des images dévoilées ne seront donc peut être pas conservées et ne sont probablement pas finalisées.

SIN CITY TRAILER


DANS QUEL FILM H.G. WELLES SORT D'UNE SALLE DE CINEMA OU ON PROJETTE
L'EXORCISTE 4 ?
dans C'EST ARRIVE DEMAIN. film de machine à voyager dans le temps au delà du gag d'époque (1977) la blague à vu le jour cette année d'abord un premier réalisateur Paul Schrader, remercié pour avoir été trop bon ? ensuite un deuxieme : Renny Harlin
pour dynamiter (?) le film...
Exorcist The Beginning
avec l'ex copain de Lorie la starlette, le danseur chanteur robot pour gamines de 15 ans : BILLY CRAWFORD en premier exorcisé... déja que ces chansons nous filaient la gerbe....

info mad-movies :
On ne va pas revenir sur les déboires de Paul Schrader avec la Warner, c’est bien triste pour lui mais les faits sont là : le réalisateur de Exorcist The Beginning est dorénavant notre viking de choc, Renny Harlin. Un retour aux sources pour ce dernier puisqu’il a débuté sa carrière avec 2 films d’horreur (les plutôt bonnards Prison et Le Cauchemar de Freddy) et qu’il ne manque jamais une occasion de caser quelques plans bien gores dans des mastodontes à 100 millions de dollars. Et c’est bien pour ça qu’on l’aime ! Renny Harlin c’est l’esprit B assuré au sein d’un blockbuster peté de thunes. Renny Harlin c’est l’amour du genre, la passion de l’explosion maousse, le gros faible pour les jolies filles et les hélicoptères (d’ailleurs il rêve de s’envoyer en l’air dans un Black Hawk). Un modèle de vie.

Il faudra donc faire confiance à la douce folie du réalisateur finlandais pour dynamiter sans gêne aucune cette préquelle à sa sauce et les premières images, sympathiquement nulles, de cette première bande-annonce (pour bien nous faire comprendre que c’est une préquelle, l’exorciste du film de Friedkin fait du Moonwalk. Idée de génie.) nous laissent à penser que Exorcist The Beginning sera sans doute complètement à coté de la plaque mais sacrement rigolo. Vivement bon sang !

PS : La version de Paul Schrader sera également visible en dvd et c’est une excellente (bien que surprenante) nouvelle.

Pazuzu trailer



BELLE ANALYSE critique DU SITH heuu... du site ecranlarge.com
concernant LE COFFRET DVD STAR WARS

Revisionisme-cinematographique et nettoyage des images ratées, effaçage de memoire , les star wars ou des films de vieux, vieux trentenaires qui sont déçus qu'on touche à leurs souvenirs. Merci George Lucas.

pendant que tu y était pour quoi t'as pas refait les coupes au bol de Luke Skywalker et le brushing Disco de Lando en plus mode 2004 ??

(...)
La mise à mort

Dès la sortie de cette édition spéciale en 1997, les fans se rebellent. Comment George a-t-il pu massacrer ce qu’il avait créé, ce pourquoi tant de gens l’ont aimé, voire vénéré ? On aurait pu raisonnablement se dire qu’un tel tollé de la part des fans de la trilogie originale aurait suffit à arrêter les délires numériques de Lucas. Ce coffret DVD démontre le contraire. L’ambition du bougre n’est plus seulement de faire correspondre ses films à ses rêves technologiques d’aujourd’hui, mais bien de renforcer le lien de La Menace fantôme, L’Attaque des clones, La Revanche des Sith, et La Guerre des étoiles, avec L’empire contre-attaque et Le Retour du Jedi. Vaste entreprise qui, si elle est indigeste, s’éloigne un peu plus encore de l’esprit de la série originelle. Lucas ne semble plus parler avec son cœur mais avec ses palettes graphiques.

Les hostilités démarrent par un nouveau travail sur les lames des sabres-lasers opéré sur les trois films. Ce qui n’empêche pas une bourde monumentale dans la scène où Obi-Wan entraîne Luke dans le Faucon Millenium, le sabre changeant de couleur selon les plans, alternant entre le bleu et le vert.

Épisode IV : Un nouvel espoir

Les deux soleils de Tatooine ont été refaits, ainsi que l’ensemble des planètes visibles dans la trilogie. Le Jabba the Bug de l’édition spéciale 1997 a été « amélioré » et est plus crédible. Pompon du désastre, Francis Laxe, qui doublait admirablement Ford en français, n’a pas été mis à contribution pour la voix de Solo dans la scène. De Jabba the Bug, on est passé à « Jabba the Bouse de T-Rex ». Le couloir des cellules sur l’Étoile de la mort a été étiré artificiellement (on se demande bien pourquoi), tandis que l’œil du ver géant (le Dianoga) dans les ordures est plus expressif, et s’articule mieux (vous me reprendrez bien un petit coup de palette graphique, Régine !).

Épisode V : L’empire contre-attaque

La séquence où l’empereur apparaît en hologramme devant Vador a été effacée et remplacée par le visage de Ian McDiarmid, afin d’être raccord avec celui qui incarne l’empereur dans Le Retour du Jedi et dans les épisodes I, II et III. Avec en prime une modification des dialogues entre les deux où l’empereur apprend à Vador que Luke est le fils d’Anakin Skywalker, et un nouveau doublage français plus que bancal pour Vador.
La voix de Boba Fett n’est plus la même, c’est désormais celle de Temuera Morisson, Jango Fett dans la nouvelle trilogie (père de Boba, oui c'est pas facile à suivre, on sait), qu’on entend dans le film.
Lucas se permet même un aller-retour dans ses décisions, puisque Luke ne criait pas au moment de sa chute lorsque il se jette dans le vide dans la Cité des nuages, pour crier ensuite dans l’édition spéciale de 1997, et se taire à nouveau dans l’édition DVD.

Épisode VI : Le Retour du Jedi.

Si les lignes de transparence du Rancor ont été gommées de façon salvatrice, effacer les sourcils et coloriser les yeux de Vador sans son masque est plus discutable (il fallait être raccord avec la couleur d’yeux de Hayden Christensen qui interprète Anakin Skywalker dans la nouvelle trilogie). À défaut de faire un rapport direct avec Anakin jeune, l’acteur Sebastian Shaw ressemble maintenant à Dan Akroyd dans Coneheads. De plus, le pauvre Shaw s’est vu sacrifié au montage sur l’autel du raccord à la nouvelle trilogie dans le plan final. C’est Hayden Christensen qui le remplace lors de l’apparition des fantômes de Jedi aux côtés de Yoda et Obi-Wan. Pourquoi à ce moment-là ne pas avoir évincé sir Alec Guinness pour le remplacer par Ewan McGregor (Obi-Wan jeune) ? Tout simplement parce que Alec Guinness a fait Le Pont de la rivière Kwai, donc on n’y touche pas, alors que Sebastian Shaw a fait Tchernobyl : L'Alerte finale pour la télévision et que tout le monde s’en fout. Il ne faudrait pas non plus oublier les scènes de liesses, à la fin du film, qui sont plus nombreuses, avec l’apparition de la ville de Naboo (d’où est originaire Padmé dans La Menace fantôme) et des plans supplémentaires de Bisounours qui fêtent la chute de l’empire.

(.....)

Maintenant, vous l'aurez compris, l'auteur de ces lignes fait partie de cette génération qui a grandi avec Star Wars. La question qui se pose alors c'est ce qu'en pensent celles et ceux qui ont l'âge que l'on avait en 1977 (c'est à dire grosso modo entre 5 et 12 ans), et qui découvrent donc pour la première fois les aventures de Luke, Han, Yoda et Vador. Eh bien, tout comme nous dans les années soixante-dix, ils seraient bien entendu émerveillés. Car au-delà de nos frustrations et amertumes de trentenaires plus ou moins fans, force est de constater que tout cela reste formidablemnent prenant, époustouflant encore à bien des égards, et éternellement épique. La nostalgie des versions originales ne doit pas en effet complètement occulter cela. Il fallait le dire, juste histoire de rétablir un tant soit peu la balance, et que les jeunes générations comprennent notre discours, certes obsessionnellement axé sur ces changements, mais qui, avec le temps, sont comme une partie de notre enfance qui s'est évaporée à jamais.

A SUIVRE
http://www.dvdanswers.com/sw1.html

le site trés bien fait d'un fan qui compare les 3 versions de la vieille trilogie
DES VHS DES ANNEES 80 LA VERSION ABIMEE DE 1997 PUIS LA DEFINITIVE AVEC LES MODIFS DE LA NOUVELLE TRILOGIE... interressant !



RUSS MEYER EST MORT
S
amedi 24 septembre 2004, disparition d'un des meilleurs cineastes des années 70.
Tous les erotomanes et autres obsédés de films mammaires sont en deuil.
Super Vixens, Ultra Vixens, Mega Vixens, Faster pussycat kill kill !!! beyond the valley of the Dolls... des chef d'oeuvres burlesques, des BD pour adultes !...

à mort le silicone, vives les nichons de Russ Meyer !!!

Rapido.

Mourir d'une infection des poumons lorsque l'on est universellement connu comme étant le cinéaste de l'obsession mammaire, cela pourrait passer pour un gag... Et pourtant, Russell Albion Meyer est mort des suites d'une pneumonie samedi 18 septembre 2004 à l'age de 82 ans.

On voudrait nous faire croire que Russ Meyer ne fut "que" le Fellini du cinéma d'exploitation, un aimable artisan du kitsch qui bricolait des films "rigolos" et avec des filles aux seins énormes.

C'est faux.

Russ Meyer restera dans l'histoire du cinéma avant tout parce qu'il était un grand metteur en scène. Il suffit de revoir les 5 premières minutes de son film le plus célèbre, Faster Pussycat, Kill kill pour s'en rendre compte: découpage au cordeau, montage musical frénétique où tout est mouvement, ellipse "choc", puis GENERIQUE ! Une véritable leçon de cinéma. Et une déclaration d'amour aux femmes. Les talents de monteur et de cinéaste de Russ Meyer n'ont pas fini de surprendre. Ils ont d'ailleurs fait de ce film le manifeste du garage punk 60's. Le corps féminin chez Meyer n'est pas seulement l'objet du désir, il est le moyen de décrire une société au sein de laquelle le male est abruti par la frustration. Un bout de nichon, et paf, l'homme devient animal. Ce qui abouti en général à des situations improbables.

Meyer a toujours filmé l'énergie du sexe avec une incroyable vitalité et un humour "cartoonesque" absolument unique. Les cadrages, le traitement du son et de la musique, et les gags des films Vixens sont en effet dignes d'un Tex Avery. S'il n'avait pas fait de films depuis la fin des années 70, l'influence de Russ Meyer aujourd'hui est considérable et il n'est pas interdit de penser au Maître lorsque l'on voit les films de l'inévitable Quentin Tarantino, ou lorsque l'on regarde les délires "white trash" de Jackass. Beaucoup de ses films sont disponibles en DVD. Ces films existent. Ils sont éternels. Russ Meyer est vivant.




CHUCKY IS BAACK et il est papa !

SPECIAL DEDICACE A BRITNEY SPEARS

Cinquième round pour notre poupée sanguinaire préférée qui, après avoir conté fleurette, va connaitre les joies de la paternité et de l'éducation parentale. De paternité, il en est également question à la réalisation car c'est Don Mancini himself, le créateur de la série, qui prendra en main ce dernier volet que l'on espère aussi déjanté que le précédent de Ronny Yu. Le papa de Chucky signera pour l'occasion sa première réalisation pour le grand écran. On vous laisse déguster la bande-annonce qui contient d'ores et déjà une scène qui mérite un tonnerre d'applaudissements. Britney on Fire !
La bande annonce avec un John Waters hilare devant la declaration tout feu tout flamme de notre poupée Chucky à la poupée britney : LA BANDANNONCE DE L ANNEE

Chucky 5 la graine de chucky !!!

UN FAN BIEN DEBILE

RAPIDO.