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vieilles archives de cinéma
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LE
RETOUR DES 101 NANARS : CATWOMAN
PREMIER
PRIX DE VULGARITE ET TOP 5 DES PIRES SUPER HEROS/SUPER MECHANTS
AU CINE (avec l'aide laide de Sharon -mettez plus de projos
pour cacher mes rides-Stone)
aprés Schwarzy ( mister freeze) dans Batman 4, Captain
America (le telefilm) etc...
Ok on s'en fout qu'elle soit black Mais où est tu Michelle
Pfeiffer...???
VIVA HELLBOY !!!
rapido
CATWOMAN
VU
PAR MAD MOVIES
USA - 2004 - 104 minutes
Réalisé par : Pitof
Avec : Halle Berry, Benjamin Bratt, Sharon Stone, Lambert
Wilson, Alex Borstein
Patience
Philips est une artiste douée, mais maladivement timide
et incroyablement mal coiffée. Elle se contente d'un
modeste emploi au sein du conglomérat Beau-Line que
dirigent le tyrannique George Hedare (Lambert Wilson, beaucoup
moins marrant que dans Matrix Reloaded) et sa femme, le légendaire
top modèle Laurel (Sharon Stone, toujours une très
belle femme quoi quon en dise). Beau-Line se prépare
à lancer LE cosmétique miracle censé
procurer aux femmes un visage et un corps à jamais
immaculés. Patience découvre que le produit
ne possède aucune de ces vertus, mais est froidement
tuée par ses patrons avant d'avoir pu dénoncer
l'imposture. Tout n'est pas perdu, cependant, car Patience
ressuscite sous l'empire d'une force mystérieuse (une
haleine fétide de chat en fait). Elle se réincarne,
en une femme féline, sensuelle : Catwoman...
En
attendant de retrouver Jennifer Garner dans les défroques
rouges de la tueuse Elektra sous la tutelle de la Twentieth
Century Fox, la Warner nous livre LE film qui aurait du lancer
avec brio une irrésistible vague de super héroïnes
sur grand écran. Et la production de Catwoman de réussir
demblée deux exploits et pas des moindres : Confier
un budget de 100 millions de dollars au réalisateur
du calamiteux Vidocq et nous proposer un nouvel accoutrement
que renierait le responsable costumes dIntervilles.
Ainsi, pour toutes les pauvres âmes sétant
égarées dans une salle ayant projeté
son premier film, une question simpose : comment diable
Pitof a négocié son coup pour convaincre le
studio Warner quil était lhomme de la situation,
alors quon ne se risquerait pas même à
lui confier les commandes dun spot publicitaire «
Whiskas Chaton ». Le mystère reste entier. Toujours
est-il que, mis en confiance par des bandes annonces toutes
plus nulles les unes que les autres, on était évidemment
déjà sur les starting blocks ! Prêt à
jouer les vicelards en invitant nos potes à se payer
une bonne tranche de rigolade devant ce qui se profilait comme
le nanar crétinoide de lannée. Peine perdue,
Catwoman est un « vrai mauvais film » et ne donne
que très rarement loccasion de séclater.
Si Halle Berry possède à priori toutes les qualités
physiques requises pour le rôle, encore fallait-il la
faire évoluer dans un semblant denvironnement
comicbook. Au sein de lunivers gothiquement décalé
dun Batman Returns, le génie de Tim Burton faisait
des merveilles en parvenant à faire de la Catwoman
sur pellicule une créature insaisissable, sensuelle
et dangereuse. Dialogues « chantés » ("You
make it easy, dont youuuu ? Always Waiting for some Batman
to save youuuuu. I am Catwoman Hear me Roar !" ), poses
suaves et coups de griffes bien placés. Il nen
fallait pas plus pour faire entrer Michelle Pfeiffer dans
la légende. Ici on tente de reprendre la même
formule mais de façon pathétiquement grossière.
Aucun élément nest introduit au préalable
pour faire de Patience Philips une héroïne de
notre temps et iconiser « sa part des ténèbres
» (oui oui, vous avez le droit de rire là). Car
NON, Monsieur Pitof, vous ne nous ferez pas croire que cette
petite nénette peinturluré comme une SisterQueen
et se dandinant vulgairement sur du RnB est Catwoman.
Fort
heureusement, le film se rattrape largement dans ses scènes
de bravoures et dans la forme. Ah ben non tiens. Laction
demeure parfaitement incompréhensible et lensemble
reste plastiquement vraiment très moche (à 2-3
exceptions près, notamment le tout dernier plan). Et
le cinéaste de Vidocq de se rêver tour à
tour Tim Burton, Wachowski brothers ou Alex Proyas alors que
ses partis pris nous rappellent plus volontiers un autre spécialiste
des effets spéciaux passé à la réalisation
: Mark AZ Dippé (le « grandiose » Spawn,
on vous le rappelle). Se contentant de secouer sa femme-chat
dans tous les sens en lui mettant quelques charmants bruitages
en bouche ( « Rrrrrrrrrrrrrrrrr » : la chatte
ronronne, « Chiiiiiiiiiiiiiiiii » : la chatte
attaque, « Tsssssssssssss » : la chatte è
mi cantaaaaaaaarrrrre), le réalisateur français
aura au moins accompli quelque chose dassez unique à
Hollywood: Transformer une comédienne oscarisée
en boite à « meuh » (« miaou »
en loccurrence) ambulante.
f des bois.
STEAMBOY
Ca
y est, il est dans les salles en France
un petit mot de Pros-Gilgamesh
septembre2004
Spielberg
: l'emphase-Terminale.
EXCLUSIF
super héros EXCLUSIF !!!!!



Sin
City
le film
Les clichés du polar noir se sont entrecroisés
avec bonheur sous la plume de Frank Miller dans les albums de
Sin City. Du dur au grand cur, en passant par les belles
insaisissables, tellement sensuelles que lon se damnerait
sans concessions pour elles, des flics ripoux aux flics fatigués
et désabusés
Sin City est le recueil incomparable de lambiance cuir
et cigares quont sublimés Chinatown et Casablanca.
Frank Miller, légende vivante du comics transformant
nimporte quel super héros en personnage complexe
et torturé, sest approprié cet univers sombre
en lui insufflant une identité marquante grâce
à un graphisme noir et blanc indéfinissable de
justesse. Miller
a accordé sa confiance à Robert Rodriguez (la
rumeur le dit chaperonné par Quentin Tarantino pour certaines
scènes clés du film) pour réaliser ladaptation
ciné de cet univers singulier. A la vue des premiers
clichés, Rodriguez, chef de file dun cinéma
à grand spectacle discutable et discuté (les Spy
Kids, Once upon a time in Mexico), a respecté à
la lettre la charte graphique identifiant Sin City. Noir et
blanc propre, lumière saturée, décors dénudés
et casting léché ; Jessica
Alba, Maria Bello, Benicio del Toro, Michael Clarke Duncan,
Michael Madsen, Clive Owen, Mickey Rourke, Nick Stahl, Bruce
Willis
Sin City sera probablement lévénement
2005 du cinéma policier américain. La vidéo
suivante est un assemblage que Robert Rodriguez a constitué
dans un but promotionnel et pour convaincre Frank Miller de
la validité de l'entreprise (le 1er extrait). Certaines
des images dévoilées ne seront donc peut être
pas conservées et ne sont probablement pas finalisées.
SIN
CITY TRAILER

DANS QUEL FILM H.G. WELLES SORT D'UNE SALLE DE CINEMA OU ON
PROJETTE
L'EXORCISTE 4 ?
dans C'EST ARRIVE DEMAIN. film de machine à voyager
dans le temps au delà du gag d'époque (1977)
la blague à vu le jour cette année d'abord un
premier réalisateur Paul Schrader, remercié
pour avoir été trop bon ? ensuite un deuxieme
: Renny Harlin
pour
dynamiter (?) le film...
Exorcist The Beginning avec
l'ex copain de Lorie la starlette, le danseur chanteur robot
pour gamines de 15 ans : BILLY CRAWFORD en premier exorcisé...
déja que ces chansons nous filaient la gerbe....
info
mad-movies :
On ne va pas revenir sur les déboires de Paul Schrader
avec la Warner, cest bien triste pour lui mais les faits
sont là : le réalisateur de Exorcist The Beginning
est dorénavant notre viking de choc, Renny Harlin.
Un retour aux sources pour ce dernier puisquil a débuté
sa carrière avec 2 films dhorreur (les plutôt
bonnards Prison et Le Cauchemar de Freddy) et quil ne
manque jamais une occasion de caser quelques plans bien gores
dans des mastodontes à 100 millions de dollars. Et
cest bien pour ça quon laime ! Renny
Harlin cest lesprit B assuré au sein dun
blockbuster peté de thunes. Renny Harlin cest
lamour du genre, la passion de lexplosion maousse,
le gros faible pour les jolies filles et les hélicoptères
(dailleurs il rêve de senvoyer en lair
dans un Black Hawk). Un modèle de vie.
Il
faudra donc faire confiance à la douce folie du réalisateur
finlandais pour dynamiter sans gêne aucune cette préquelle
à sa sauce et les premières images, sympathiquement
nulles, de cette première bande-annonce (pour bien
nous faire comprendre que cest une préquelle,
lexorciste du film de Friedkin fait du Moonwalk. Idée
de génie.) nous laissent à penser que Exorcist
The Beginning sera sans doute complètement à
coté de la plaque mais sacrement rigolo. Vivement bon
sang !
PS
: La version de Paul Schrader sera également visible
en dvd et cest une excellente (bien que surprenante)
nouvelle.
Pazuzu
trailer

BELLE
ANALYSE critique DU SITH heuu... du site ecranlarge.com
concernant LE COFFRET DVD STAR WARS
Revisionisme-cinematographique et nettoyage des images
ratées, effaçage de memoire , les star wars
ou des films de vieux, vieux trentenaires qui sont déçus
qu'on touche à leurs souvenirs. Merci George Lucas.
pendant
que tu y était pour quoi t'as pas refait les coupes
au bol de Luke Skywalker et le brushing Disco de Lando en
plus mode 2004 ??
(...)
La mise à mort
Dès la sortie de cette édition spéciale
en 1997, les fans se rebellent. Comment George a-t-il pu massacrer
ce quil avait créé, ce pourquoi tant de
gens lont aimé, voire vénéré
? On aurait pu raisonnablement se dire quun tel tollé
de la part des fans de la trilogie originale aurait suffit
à arrêter les délires numériques
de Lucas. Ce coffret DVD démontre le contraire. Lambition
du bougre nest plus seulement de faire correspondre
ses films à ses rêves technologiques daujourdhui,
mais bien de renforcer le lien de La Menace fantôme,
LAttaque des clones, La Revanche des Sith, et La Guerre
des étoiles, avec Lempire contre-attaque et Le
Retour du Jedi. Vaste entreprise qui, si elle est indigeste,
séloigne un peu plus encore de lesprit
de la série originelle. Lucas ne semble plus parler
avec son cur mais avec ses palettes graphiques.
Les
hostilités démarrent par un nouveau travail
sur les lames des sabres-lasers opéré sur les
trois films. Ce qui nempêche pas une bourde monumentale
dans la scène où Obi-Wan entraîne Luke
dans le Faucon Millenium, le sabre changeant de couleur selon
les plans, alternant entre le bleu et le vert.
Épisode
IV : Un nouvel espoir
Les
deux soleils de Tatooine ont été refaits, ainsi
que lensemble des planètes visibles dans la trilogie.
Le Jabba the Bug de lédition spéciale
1997 a été « amélioré »
et est plus crédible. Pompon du désastre, Francis
Laxe, qui doublait admirablement Ford en français,
na pas été mis à contribution pour
la voix de Solo dans la scène. De Jabba the Bug, on
est passé à « Jabba the Bouse de T-Rex
». Le couloir des cellules sur lÉtoile
de la mort a été étiré artificiellement
(on se demande bien pourquoi), tandis que lil
du ver géant (le Dianoga) dans les ordures est plus
expressif, et sarticule mieux (vous me reprendrez bien
un petit coup de palette graphique, Régine !).
Épisode
V : Lempire contre-attaque
La
séquence où lempereur apparaît en
hologramme devant Vador a été effacée
et remplacée par le visage de Ian McDiarmid, afin dêtre
raccord avec celui qui incarne lempereur dans Le Retour
du Jedi et dans les épisodes I, II et III. Avec en
prime une modification des dialogues entre les deux où
lempereur apprend à Vador que Luke est le fils
dAnakin Skywalker, et un nouveau doublage français
plus que bancal pour Vador.
La voix de Boba Fett nest plus la même, cest
désormais celle de Temuera Morisson, Jango Fett dans
la nouvelle trilogie (père de Boba, oui c'est pas facile
à suivre, on sait), quon entend dans le film.
Lucas se permet même un aller-retour dans ses décisions,
puisque Luke ne criait pas au moment de sa chute lorsque il
se jette dans le vide dans la Cité des nuages, pour
crier ensuite dans lédition spéciale de
1997, et se taire à nouveau dans lédition
DVD.
Épisode
VI : Le Retour du Jedi.
Si
les lignes de transparence du Rancor ont été
gommées de façon salvatrice, effacer les sourcils
et coloriser les yeux de Vador sans son masque est plus discutable
(il fallait être raccord avec la couleur dyeux
de Hayden Christensen qui interprète Anakin Skywalker
dans la nouvelle trilogie). À défaut de faire
un rapport direct avec Anakin jeune, lacteur Sebastian
Shaw ressemble maintenant à Dan Akroyd dans Coneheads.
De plus, le pauvre Shaw sest vu sacrifié au montage
sur lautel du raccord à la nouvelle trilogie
dans le plan final. Cest Hayden Christensen qui le remplace
lors de lapparition des fantômes de Jedi aux côtés
de Yoda et Obi-Wan. Pourquoi à ce moment-là
ne pas avoir évincé sir Alec Guinness pour le
remplacer par Ewan McGregor (Obi-Wan jeune) ? Tout simplement
parce que Alec Guinness a fait Le Pont de la rivière
Kwai, donc on ny touche pas, alors que Sebastian Shaw
a fait Tchernobyl : L'Alerte finale pour la télévision
et que tout le monde sen fout. Il ne faudrait pas non
plus oublier les scènes de liesses, à la fin
du film, qui sont plus nombreuses, avec lapparition
de la ville de Naboo (doù est originaire Padmé
dans La Menace fantôme) et des plans supplémentaires
de Bisounours qui fêtent la chute de lempire.
(.....)
Maintenant,
vous l'aurez compris, l'auteur de ces lignes fait partie de
cette génération qui a grandi avec Star Wars.
La question qui se pose alors c'est ce qu'en pensent celles
et ceux qui ont l'âge que l'on avait en 1977 (c'est
à dire grosso modo entre 5 et 12 ans), et qui découvrent
donc pour la première fois les aventures de Luke, Han,
Yoda et Vador. Eh bien, tout comme nous dans les années
soixante-dix, ils seraient bien entendu émerveillés.
Car au-delà de nos frustrations et amertumes de trentenaires
plus ou moins fans, force est de constater que tout cela reste
formidablemnent prenant, époustouflant encore à
bien des égards, et éternellement épique.
La nostalgie des versions originales ne doit pas en effet
complètement occulter cela. Il fallait le dire, juste
histoire de rétablir un tant soit peu la balance, et
que les jeunes générations comprennent notre
discours, certes obsessionnellement axé sur ces changements,
mais qui, avec le temps, sont comme une partie de notre enfance
qui s'est évaporée à jamais.
A
SUIVRE
http://www.dvdanswers.com/sw1.html
le site trés bien fait d'un fan qui compare les 3 versions
de la vieille trilogie
DES VHS DES ANNEES 80 LA VERSION ABIMEE DE 1997 PUIS LA DEFINITIVE
AVEC LES MODIFS DE LA NOUVELLE TRILOGIE... interressant !
RUSS
MEYER EST MORT
Samedi
24 septembre 2004, disparition d'un des meilleurs cineastes
des années 70.
Tous les erotomanes et autres obsédés de films
mammaires sont en deuil.
Super Vixens, Ultra Vixens, Mega Vixens, Faster pussycat kill
kill !!! beyond the valley of the Dolls... des chef d'oeuvres
burlesques, des BD pour adultes !...
à mort le silicone, vives les nichons de Russ Meyer
!!!
Rapido.
Mourir
d'une infection des poumons lorsque l'on est universellement
connu comme étant le cinéaste de l'obsession
mammaire, cela pourrait passer pour un gag... Et pourtant,
Russell Albion Meyer est mort des suites d'une pneumonie samedi
18 septembre 2004 à l'age de 82 ans.
On
voudrait nous faire croire que Russ Meyer ne fut "que"
le Fellini du cinéma d'exploitation, un aimable artisan
du kitsch qui bricolait des films "rigolos" et avec
des filles aux seins énormes.
C'est
faux.
Russ
Meyer restera dans l'histoire du cinéma avant tout
parce qu'il était un grand metteur en scène.
Il suffit de revoir les 5 premières minutes de son
film le plus célèbre, Faster Pussycat, Kill
kill pour s'en rendre compte: découpage au cordeau,
montage musical frénétique où tout est
mouvement, ellipse "choc", puis GENERIQUE ! Une
véritable leçon de cinéma. Et une déclaration
d'amour aux femmes. Les talents de monteur et de cinéaste
de Russ Meyer n'ont pas fini de surprendre. Ils ont d'ailleurs
fait de ce film le manifeste du garage punk 60's. Le corps
féminin chez Meyer n'est pas seulement l'objet du désir,
il est le moyen de décrire une société
au sein de laquelle le male est abruti par la frustration.
Un bout de nichon, et paf, l'homme devient animal. Ce qui
abouti en général à des situations improbables.

Meyer
a toujours filmé l'énergie du sexe avec une
incroyable vitalité et un humour "cartoonesque"
absolument unique. Les cadrages, le traitement du son et de
la musique, et les gags des films Vixens sont en effet dignes
d'un Tex Avery. S'il n'avait pas fait de films depuis la fin
des années 70, l'influence de Russ Meyer aujourd'hui
est considérable et il n'est pas interdit de penser
au Maître lorsque l'on voit les films de l'inévitable
Quentin Tarantino, ou lorsque l'on regarde les délires
"white trash" de Jackass. Beaucoup de ses films
sont disponibles en DVD. Ces films existent. Ils sont éternels.
Russ Meyer est vivant.
CHUCKY IS BAACK et il est papa !
SPECIAL
DEDICACE A BRITNEY SPEARS
Cinquième
round pour notre poupée sanguinaire préférée
qui, après avoir conté fleurette, va connaitre
les joies de la paternité et de l'éducation
parentale. De paternité, il en est également
question à la réalisation car c'est Don Mancini
himself, le créateur de la série, qui prendra
en main ce dernier volet que l'on espère aussi déjanté
que le précédent de Ronny Yu. Le papa de Chucky
signera pour l'occasion sa première réalisation
pour le grand écran. On vous laisse déguster
la bande-annonce qui contient d'ores et déjà
une scène qui mérite un tonnerre d'applaudissements.
Britney on Fire !
La bande annonce avec un John Waters hilare devant la declaration
tout feu tout flamme de notre poupée Chucky à
la poupée britney : LA BANDANNONCE DE L ANNEE
Chucky
5 la graine de chucky !!!
UN
FAN BIEN DEBILE
RAPIDO.
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